Hippodrome de N'Djamena : un espace sportif vital laissé à l'abandon | Media Sport 235
Samedi, 14 juin 2025
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Hippodrome de N'Djamena : un espace sportif vital laissé à l'abandon

L'Hippodrome : Hier et Aujourd'hui

10+
Clubs de première division
S'entraînaient régulièrement
5+
Centres de formation
Dont celui d'Oumar Ngaba
Réguliers
Tournois inter-quartiers
Événements communautaires
Hebdomadaires
Courses de chevaux
Attraction populaire

Terrain fermé depuis plusieurs années

Clubs sans terrain d'entraînement
Centres de formation en difficulté
Jeunes privés d'espace de pratique
Citoyens sans lieu d'activité physique

Autrefois poumon du sport populaire à N'Djamena, l'Hippodrome est aujourd'hui un terrain fermé, abandonné à son sort, pour le grand désarroi des clubs, centres de formation et sportifs de tout âge. Et pourtant, cet espace a longtemps été un repère incontournable pour la pratique du sport dans la capitale.

Un passé glorieux au service du sport tchadien

Vue de l'Hippodrome dans ses beaux jours

L'Hippodrome, cœur battant du sport populaire

🏆 Terrain d'entraînement pour les clubs de première division
🎓 Cadre idéal pour les centres de formation
🏃‍♂️ Espace de santé publique pour les citoyens

Des clubs de première division s'y entraînaient régulièrement. Des centres de formation, comme celui d'Oumar Ngaba – reconnu pour avoir formé plusieurs joueurs ayant intégré l'équipe nationale – y trouvaient un cadre idéal pour encadrer les jeunes. L'Hippodrome accueillait aussi des tournois inter-quartiers, des courses de chevaux, ainsi que des citoyens venus entretenir leur santé à travers des activités physiques régulières.

Focus : Le centre de formation d'Oumar Ngaba

Plusieurs
Joueurs formés pour l'équipe nationale
Hippodrome
Base d'entraînement principale

Ce centre de formation, dirigé par Oumar Ngaba, était l'un des fleurons de la formation au Tchad. Grâce à l'accès privilégié à l'Hippodrome, il a pu développer de nombreux talents qui ont brillé sous les couleurs nationales.

Bref, un lieu de vie, de sport, de rencontres et de santé publique.

L'abandon : une perte considérable pour le sport tchadien

Mais voilà déjà plusieurs années que ce terrain est fermé, sans réelle alternative proposée. Pendant ce temps, les espaces de pratique sportive deviennent de plus en plus rares à N'Djamena. Les clubs se retrouvent sans terrain, malgré la promesse du ministère de l'Aménagement du territoire d'en attribuer un à chaque structure.

Les conséquences de la fermeture

🏃‍♂️
Clubs en détresse

Les équipes de première division peinent à trouver des terrains d'entraînement adaptés

👥
Jeunes défavorisés

Les centres de formation manquent d'espaces pour développer les talents

🏥
Santé publique

Les citoyens perdent un espace vital pour leur activité physique

Cette promesse tarde à se concrétiser, alors que la demande augmente.

Nouvelles infrastructures vs espaces de proximité

Certes, le Tchad va inaugurer un nouveau stade national le 23 mai, et la réouverture du stade Idriss Mahamat Ouya est en cours. Mais ces infrastructures, aussi importantes soient-elles, ne doivent pas faire oublier la nécessité des espaces de proximité, accessibles aux jeunes, aux clubs formateurs et aux citoyens.

Les infrastructures sportives à N'Djamena

Nouveau
Stade National
Inauguration : 23 mai 2025
Grande infrastructure
Rénovation
Stade Idriss Mahamat Ouya
Réouverture en cours
Grande infrastructure
Fermé
Hippodrome
Fermé depuis plusieurs années
Espace de proximité

L'importance des espaces de proximité

Alors que les grandes infrastructures accueillent les événements officiels et les matchs de haut niveau, les espaces de proximité comme l'Hippodrome sont essentiels pour le développement de la base. Ils permettent l'entraînement quotidien, la formation des jeunes, et maintiennent le lien social autour du sport.

L'Hippodrome en est un exemple emblématique.

Un appel urgent à la réouverture

Le mouvement sportif tchadien se mobilise

🏃‍♂️
Pour le développement du sport
🏥
Pour la santé publique
👥
Pour la jeunesse

Il est plus qu'urgent de redonner vie à l'Hippodrome. Le mouvement sportif tchadien réclame sa réouverture, pour le développement du sport, pour la santé publique, pour la jeunesse.

« Le sport reste la première ordonnance pour la santé »

Un principe fondamental qui justifie l'urgence de rouvrir l'Hippodrome

Car ne l'oublions pas : le sport reste la première ordonnance pour la santé. La réouverture de l'Hippodrome n'est pas qu'une question d'infrastructure, c'est un enjeu de société, de santé publique et d'avenir pour la jeunesse tchadienne.

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